Publié le 28 Septembre 2012
Salam alikoum wa rahmatoulah ita3ala wa barakatou. Sur ce blog, j'ai mis sourates et citations du Coran. Decouvrez le en navigant sur ce blog.
Publié le 28 Septembre 2012
Publié le 28 Septembre 2012
Publié le 28 Septembre 2012
Le Coran contient les paroles révélées de Dieu,
désignant ainsi la prophétie de Mohammed, et l'authenticité de son Message.
La complexité du Coran englobe non seulement les mots, les lettres, les significations et les structures ; elle embrasse également les prédictions annoncées. Ce noble livre contient également des lois religieuses et philosophiques abordées pour la première fois. Un défi est lancé aux humains et aux djinns de coopérer, conjointement pour donner un livre pareil. Le Seigneur a dit :
« Dis : Si les hommes et les Djinns s'unissaient pour produire quelque chose de
semblable à ce Coran, ils ne produiraient rien qui lui ressemble, même s'ils s'aidaient mutuellement »
[ sourate 17, verset 88 ]
قُل لَّئِنِ ٱجْتَمَعَتِ ٱلْإِنسُ وَٱلْجِنُّ عَلَىٰٓ أَن يَأْتُوا۟ بِمِثْلِ هَٰذَا ٱلْقُرْءَانِ لَا يَأْتُونَ بِمِثْلِهِۦ وَلَوْ كَانَ بَعْضُهُمْ لِبَعْضٍۢ ظَهِيرًۭا
Un autre défi fut également lancé aux plus éloquents des Arabes de forger dix sourates
semblables à celles du Coran :
« Si vous êtes dans le doute au sujet de ce que nous avons révélé à notre serviteur, apportez-nous une sourate semblable à ceci ; appelez vos témoins autres que Dieu, si vous êtes véridiques. Si vous ne le faites pas, et vous ne le ferez pas » [sourate 2, verset 23 ]
وَإِن كُنتُمْ فِى رَيْبٍۢ مِّمَّا نَزَّلْنَا عَلَىٰ عَبْدِنَا فَأْتُوا۟ بِسُورَةٍۢ مِّن مِّثْلِهِۦ وَٱدْعُوا۟ شُهَدَآءَكُم مِّن دُونِ ٱللَّهِ إِن كُنتُمْ صَٰدِقِينَ
La dernière partie prédit l'incapacité de tous de forger une seule sourate semblable à celles du Coran.
Plus de mille quatre cent ans ont passé, et jusqu'à présent, les incrédules n'ont pas apporté une sourate similaire à celles du Coran.
Le Coran constitue donc un miracle éternel qui durera autant que durera la vie
sur terre. L'Islam et donc éternel car le miracle qui l'apporte l'est.
Publié le 23 Décembre 2011
Publié le 19 Mars 2008
Cliquer sur le lien dirigeant vers Le Coran en Flash.
Coran
Publié le 15 Février 2008
Les Miracles du Prophète Bien-Aimé
Le Terme "miracle" est defini par tout acte qu'un être humain est incapable d'executer même si des groupements se forment
à cette fin.
Si le miracle est lié à un défi, le miracle est propre aux prophètes, dans le cas contraire, le miracle n'est qu'un honneur acordé par le Seigneur à ses esclaves vertueux qu'Il
choisirait.
LE Miracle a donc pour fondement les parols divines suivantes : " Croyez le Prophète dans tout ce qu'il rapporte à mon sujet" Il affirme donc la prophètie et distingue le vrai Prophète de
l'imposteur.
Le terme "miracle" ne se trouve pas dans le Coran, mais son synonyme l'est, à savoir "Aya" ou " Signe". Le Bien-Aimé qu'Allah le bénisse et le salut, effectua de multiples miracles dont le Seigneur l'a honoré, il a affirmé son message par quelques Miracles que voici et que
nous verrons en detail par la suite.
Publié le 12 Décembre 2007
Par la fécondité de son esprit et la pureté de son caractère, il avait pris connaissance des réalités de la vie des collectivités. Il se détournait des superstitions et traitait avec les gens sur la base du discernement et de la clairvoyance.
Toutes les fois qu’il trouvait qu’une chose était bonne, il y participait effectivement. Sinon, il se retirait dans sa solitude. Il ne buvait pas de vin et ne mangeait pas non plus ce qu’on avait sacrifié ou immolé pour les idoles. Il n’assistait à aucune des fêtes organisées par les idolâtres car il avait toujours éprouvé de l’aversion pour l’adoration futile et absurde des idoles.
Il ne supportait pas d’entendre jurer par Al-Lât et Al-Ozzâ. Il ne fait aucun doute qu’Allah (à Lui la Puissance et la Gloire) l’avait entouré d’un mur de protection.
Ainsi lorsque les penchants de l’âme le poussaient à vouloir découvrir par curiosité la jouissance de ce monde, toutes les fois qu’il voulait
suivre des traditions blâmables, la bienveillance divine intervenait pour l’en empêcher.
Publié le 12 Décembre 2007
Publié le 5 Décembre 2007
Ainsi les Qouraichites furent obligés d’en renouveler les fondations, désireux de garder cet édifice, souvenir de la foi d’Ibrahim (Abraham) . Ils décidèrent tous ensemble de n’investir dans ce sens que les biens honnêtement acquis, écartant de ce fait la dot des prostituées, les biens résultant de l’usure ou d’une injustice. Les gens avait peur de détruire la Kaaba, alors Al-Walid Ibn Al-Moughira commença le travail de démolition. Les gens, après s’être rendus compte qu’aucun malheur n’avait atteint Al-Walid, le rejoignirent et continuèrent à démolir jusqu’à ce qu’ils atteignirent la fondation réalisée par Ibrahim . Occupés ensuite à construire, Ils divisèrent la Kaaba en plusieurs parties dont chacune était à la charge d’une tribu.
Chaque tribu rassembla des pierres et la construction commença. Lorsqu’on eut atteint l’endroit de la Pierre Noire, les tribus divergèrent sur la question de savoir qui d’entre elles aurait l’honneur de la mettre en place. Le conflit s’étendit sur 4 ou 5 nuits et faillit déclencher une guerre violente, puis les tribus se rassemblèrent pour trouver une solution juste. Ils décidèrent alors de prendre pour juge arbitre la première personne qui franchirait la porte de la Maison Sacrée où ils étaient réunis. Et ce fut Muhammad . Dès qu’ils le virent, ils s’exclamèrent : « Voici l’honnête (Al-Amine) ! Nous acceptons son arbitrage ! C’est Muhammad ! »
Lorsque Muhammad fut mis au courant du motif de leur conflit, il demanda qu’on apporte un morceau de tissu. Il plaça ensuite la Pierre Noire au milieu du tissu et demanda aux chefs des tribus en conflit de tenir chacun un côté de l’étoffe puis de soulever ainsi la Pierre Noire. Ils s’exécutèrent et quand ils atteignirent sa place, Muhammad prit la pierre et la mit lui-même avec sa main. Puis ils construisirent là-dessus, satisfaits du jugement équitable qui les avait départagés.
D’après Ibn Ishaq, au temps de l’Envoyé d’Allah, la Kaaba était de 18 coudées. Elle était revêtue de tissus coptes (qabati), puis elle fut
revêtue de tissus yéménites (burud). Al-Hajjaj fut le premier à la revêtir de brocart.
Publié le 5 Décembre 2007
Khadija , fille de Khouwaylid, était une commerçante noble et aisée qui engageait des hommes à son service en leur confiant des transactions dont ils bénéficiaient. Ainsi, lorsqu’on loua devant elle la sincérité, la loyauté et la noblesse du Prophète , elle lui proposa d’aller faire fructifier une partie de son argent dans la région du Cham (Syrie). Elle le fit accompagner de son esclave Maysara.
Le Prophète (paix et bénédiction d’Allah sur lui) qui était alors âgé de 25 ans, accepta l’offre et se rendit ainsi en Syrie pour la deuxième fois, après son voyage avec Abou Taleb et la rencontre avec le moine Bahira. Il y fit fructifier l’argent que Khadija lui avait confié, bénéficiant lui-même des gains acquis comme le stipulait leur accord ; il pouvait alors s’affranchir de l’hospitalité de son oncle.
De retour à la Mecque, Maysara informa Khadija (qu’Allah soit satisfait d’elle) de ce qu’il avait vu de la personnalité de Muhammad comme douceur, vertu, force de persuasion, pertinence et honnêteté. Sur ces bases, Khadija envoya l’une des ses amies, Nafissa Bint Manya, comme intermédiaire auprès de Muhammad pour lui faire part de son souhait de l’épouser. Ravi, le Prophète en informa alors ses oncles qui se rendirent alors chez Khouwaylid Ibn Asad pour demander sa fille en mariage pour leur neveu et le mariage fut conclu. La dot était de vingt chamelles.
Khadija avait alors quarante ans et était réputée être la meilleure femme de sa tribu en vertu de sa généalogie, sa richesse et son intelligence. Elle s’était déjà mariée deux fois auparavant : d’abord, à ‘Atiq Ibn ‘Aïd, dont elle eut pour fille Hind ; ensuite, à Zourara At-Tamimi qui mourut à son tour. De cette deuxième union naquit Hala.
Khadija était la première femme que le Messager d’Allah épousa et il ne se maria avec aucune autre femme jusqu’à la mort de celle-ci.
Elle est la mère de tous les enfants de l’Envoyé d’Allah à l’exception d’Ibrahim qu’il eut de Maria l’Egyptienne. Leurs enfants étaient donc Al-Qassim (d’où le surnom du Prophète : Abou-l-Qassim), ‘AbdAllah surnommé At-Tayib et At-Tahir pour les garçons. Tous moururent en bas âge, avant l’avènement de l’Islam. Quant à leurs filles, elles étaient : Rouqayah, Zaynab, Oum Kalthoum et Fatima qui vécurent toutes jusqu’à l'avènement de l’Islam et embrassèrent la nouvelle religion.